Comment se travaille le SEO on-page ?

Le SEO est un continent que tout créateur de contenu ou e-marketeur rêve de maîtriser, mais il est vaste. On distingue, par exemple, le SEO on-page (qui concerne ce qui se passe sur le site) du SEO off-page, relatif à ce qui intervient en-dehors de ce site. Pour vous en apprendre plus sur le premier, cet article s’attache à cerner tous les aspects d’un contenu travaillé pour plaire aux moteurs de recherche. Structure, optimisation, EEAT : découvrez ce qui se cache sous le référencement on-page.

Qu’est-ce que l’optimisation on-page ?

Le SEO on-page en bretagne est un domaine du SEO qui porte, pour une grande partie, sur la production et l’optimisation de contenu SEO. Elle représente un domaine dans lequel les rédacteurs web se spécialisent donc souvent, car il se partage entre la rédaction web et la maîtrise des critères d’optimisation pour les moteurs de recherche.

Si vous êtes propriétaire d’un site et que vous souhaitez en savoir plus sur le seo on-page en Bretagne, voyons maintenant plus en détail ces critères qui rendent un site « google friendly » à partir de son optimisation interne.

Optimisation des balises SEO

Contrairement à un rédactionnel classique, un contenu pour le web intègre la rédaction de balises HTML SEO, qui font partie du code du site qui est exploré et repéré par l’activité des moteurs de recherche.

– Les balises Hn : H1, H2, H3… indiquent la structure du texte (on parle aussi de « structure hn »), qui hiérarchise l’information de façon cohérente.

• Les balises title et meta description sont des meta balises qui n’apparaissent pas dans le texte, mais sur la grille de Google. La balise Title est constituée du lien bleu incitant au clic et la méta description du bref résumé au-dessous, dont le but est d’attirer l’attention du lecteur.

Ces balises donnent donc des indications à la fois aux robots et aux internautes. Aussi doivent-elles introduire le mot-clé principal sur lequel est travaillé le SEO on-page du contenu.
Elles se limitent, de plus, à un nombre restreint de caractères.

Optimisation sémantique

L’optimisation sémantique consiste pour un texte à savoir choisir ses mots-clés en s’axant sur un mot-clé principal et le champ sémantique qui lui correspond. Ce champ comprenant toutes les expressions et éléments de syntaxe et de langage que les algorithmes attendent autour du mot-clé principal.

Les rédacteurs web savent, selon les bases de la rédaction SEO, rédiger en repérant ces champs sémantiques pour les réinjecter dans le texte. Ils savent aussi comment choisir un mot-clé principal en fonction des stratégies de mots-clés qu’ils élaborent.

Productivité oblige, ils maîtrisent de plus en plus l’emploi d’outils dopés à l’IA, experts dans l’art de « draguer » les champs sémantiques des contenus déjà positionnées sur les mots-clés visés dans les serps.

Exemples de quelques outils SEO on-page :

• Google search console : pour repérer les meilleurs mots-clés du site et améliorer leur classement ;
• Ahrefs et Semrush : pour découvrir les mots-clés de la concurrence et découvrir de nouvelles opportunités ;
• Screaming Frog : pour crawler le contenu d’un site et repérer les erreurs de balises ;
• Yoast SEO : plugin SEO one-page wordpress, pour mieux intégrer ses contenus en obtenant une checklist SEO on-page pour chacun.

Les images font aussi l’objet d’une optimisation, de manière à ce que les moteurs de recherche puissent déchiffrer leur contenu.
L’attribut alt » fait l’objet est ainsi optimisé en incluant un ou plusieurs mots-clés.
On le remplit lors de l’intégration d’une image, sachant qu’il sert aussi l’UX d’un site en permettant aux personnes porteuses d’un handicap visuel d’avoir accès à une retranscription vocale.

Optimisation de l’UX

L’UX ou l’expérience utilisateur, est un facteur à ne pas négliger en SEO. Une page ou un bouton que l’on recherche nuisent au parcours de l’internaute sur un site, donc, au SEO sur la page.
Les facteurs influençant l’UX, comme le temps de chargement des pages ou les erreurs SEO on-page, font partie du SEO technique on-page.

Les algorithmes, en effet, n’aiment pas un taux de rebond trop élevé ; le taux de rebond étant cet indicateur qui révèle la propension des internautes à quitter le site après n’avoir consulté qu’une seule page.

Optimisation des url
Il est important d’avoir des url lisibles et intelligibles pour les utilisateurs du site.
On peut introduire un mot-clé par url, mais en faisant attention au bourrage, car Google peut pénaliser les sites qu’il juge suroptimisés.
Des url simples sont la meilleure solution, en évitant les termes inutiles et en adoptant de bonnes pratique (pas d’accent, pas de trait d’union).

Le maillage interne

Un site représente un ensemble de pages dont aucune ne doit être orpheline aux yeux de Google, c’est-à-dire être sans liens avec les autres.
Il faut donc lier les pages d’un site les unes avec les autres, mais le faire de façon structurée et pensée.

Un bon maillage interne facilite, en effet le travail des bots en s’appuyant sur une bonne architecture de site.
De plus, un bon maillage redistribue les « jus de référencement » entre les pages, l’autorité d’une page pointant vers une autre redistribuant à cette page son autorité, la faisant ainsi circuler de pages en pages (on appelle ce phénomène la « redistributions du page rank «).

Pour mailler un site de façon efficace, plusieurs méthodes existent. Certaines sont relativement simples, comme celle du silo thématique qui relie et hiérarchise les pages entre elles en fonction du besoin de l’internaute.

D’autres, comme le cocon sémantique mis au point par l’expert Laurent Bourrely, adoptent un process de maillage plus complexe, mais redoutable du point de vue de son efficacité pour une stratégie SEO on-page.

Les critères de l’EEAT

Penser que Google ne se préoccupe que de mots-clés pour positionner une page dans ses grilles de résultats est, depuis quelques années, insuffisant et même révolu.

Car au fil de ses mises à jour, on a vu les technologies de l’algorithme inclure toujours plus d’intelligence artificielle de façon à mieux cerner le comportement de ses utilisateurs. Le but ? Proposer des résultats répondant le plus fidèlement possible au besoin exprimé par leur intention de recherche.

Dorénavant, une page web ne doit donc plus seulement se contenter de comporter une certaine sémantique, elle doit aussi et surtout, attester qu’elle répond avant tout à l’intention de recherche des internautes.

C’est cette évolution qui introduit aujourd’hui le concept de l’EEAT, s’ajoutant à l’optimisation SEO. , ce signe américain signifiant pour Google : expérience, expertise, authoritativeness and trustworthiness.

Traduits en français, voici ce que ces critères signifient :

• l’expérience révélée par le contenu : qui se doit de refléter une expérience singulière et proche de celle des internautes ;
• l’expertise du contenu : un blog ou un contenu doivent offrir un niveau d’information vraiment sérieux et complet ;
• l’autorité du contenu : il doit émaner d’auteurs ayant de préférence une renommés dans leur domaine ;
• la confiance : le contenu doit être fiable pour l’internaute, soit rédigé selon des sources vérifiées.

La prise en compte de l’EEAT fait partie intégrante aujourd’hui du SEO on-page. Elle implique que tout choix de mot-clé s’accompagne de la consultation des pages de résultats existantes sur lesquelles il apparaît, afin de s’assurer de l’intention de recherche des internautes à laquelle il est lié.

Un même mot-clé peut avoir des sens différents, mais il faut savoir à quoi correspond celui qui figure dans les résultats de Google, pour ne pas se tromper en choisissant une requête-clé.

Pourquoi un blog SEO crée du trafic ?

Au même titre que les pages de site, les pages d’articles de blog font l’objet d’une optimisation on-page en se positionnant sur des mots-clés dits de « longue traîne », qui déclinent les mots-clés plus courts et plus « commerciaux « des pages du site.

Un blog a donc vocation à être un peu la locomotive du SEO d’un site, les mots-clés de longue traîne venant irriguer par leur trafic, le SEO des pages stratégiques positionnées sur des mots-clés commerciaux plus courts.

Mais un blog est aussi, ne l’oublions pas, un levier pour fidéliser les visiteurs en produisant un bon contenu selon les principes de l’EEAT.

Car au milieu de toutes ces contraintes qui pèsent sur le contenu, il ne faut pas oublier l’essentiel. À savoir que dans leurs critères de qualité, les algorithmes mesurent la fréquence à laquelle les contenus sont consultés, ainsi que le temps passé en lecture sur chaque page.

Un blog de qualité est donc l’un des meilleurs moyens à mettre en place en matière de SEO on-page pour un site. Il commence par attirer des visiteurs, puis il stabilise le trafic, tout en positionnant durablement le site sur les grilles de résultats.

À noter : les moyens importants investis par certains sites en créant un gros blog SEO se justifient pleinement, car les positions acquises grâce à un positionnement naturel, en opposition à l’achat de liens payants, sont beaucoup plus durables dans le temps.

Le SEO on-page est un volet du SEO incontournable pour assurer le référencement d’un site. Il possède un volet technique, tout en nécessitant une bonne maîtrise de la création de contenu et des guidelines de Google.

Pour des contenus impeccables, qui respectent tous les critères de l’EEAT, n’hésitez pas à déléguer la rédaction et l’optimisation de votre site à un rédacteur SEO confirmé. Il ou elle vous aidera à :

• déléguer le travail de rédaction SEO pour réserver votre temps à votre activité ;
• bénéficier d’une optimisation de contenu optimale selon les critères de l’EEAT et de Google afin de vous positionner rapidement dans les résultats de recherche.